Articles

Affichage des articles du octobre, 2009

Un management que politique trop patrimonial

Image
Pour vous, quelle différence existe-t-il entre les Wade, les Idy, les Tanor, les Niasse et consorts sur leur manière respective de manager leur formation politique ? En attendant votre réponse, il n’est point besoin de faire l’historique des partis politiques au Sénégal pour y répondre lapidairement par ces 6 lettres : AUCUNE . AUCUNE pour la bonne et simple qu’ils en sont arrivés à faire les leurs les propos de Me Ousmane NGOM que je cite : « Wade parle en démocrate et agit en autocrate ». Ces propos contextualisés à chacun des leaders de formation politique donne ceci : « Ils –tous et sans exception– parlent en démocrates et agissent en autocrates ». Ces chefs de parti se partagent le défaut de plastronner d’office sur la tête de chaque militant et d’en faire de fait un mouton de panurge. Cette condition infligée à chaque militant n’est que très rarement dénoncée par qui de droit. Là où Me NGOM, employait « autocratie », je me permets d’employer : « despotisme » ou plutôt « mon

Idrissa SECK et sa « nôtre » de schizophrénie

Image
Je vous en adjure de bien vouloir me pardonner cette mienne de schizophrénie qui me cintre dans un délire innommable et qui, comme et avec « lui » semble nous mener en parallèle par le bout du nez. Autrement, je désire de vous une haute indulgence par rapport à mon équivoque de sympathie qui pourtant n’a rien de mal –j’en suis convaincu–, et que je voue modérément au Premier-Ministre Idrissa SECK. Fâcheusement, cette condition complexe m’a amené à abhorrer « lui » autant que je supporte « Ndamal Kadioor ». Bref, tout ce tralala de chichi pour vous avouer qu’Idrissa SECK est l’homme publique qui m’est le plus sympathique du pavillon politique sénégalais –point de contrariété pour ma part– ; malgré qu’il ait terminé de m’épouvanter de par et sa conduite, et son attitude, et ses comportements outrancièrement schizophréniques (capharnaüm indescriptible vous me direz bien sûr, soit pour moi et pour lui ! ! !). D’où ce titre : " Idrissa SECK et sa « nôtre » de schizophrénie ", qu

Sécurité-incendie : la grande bévue à « Tamaro tower »

Image
« N’arrive dans ce monde créé que ce que Al-Jabbar destine » Louange à Allah d’avoir tiré du feu –astaghfiroulah– tiré d’affaire aussi bien le super-ministre de tout ce qui est important aux yeux de son pater de président ; le prince Abdou Karim Meïssa ainsi que l’ensemble de ses ouailles de collaborateurs et de conseillers. En ce surlendemain du fameux sinistre qui s’est déroulé à l’immeuble Tamaro sous les yeux du premier des sénégalais, de toute la gentry gouvernementale et des badauds venus en masse suivre le « live » du jour, nous pouvons signaler que la grande bévue propre à nos amis « alter-noceurs » s’y est également invitée. Ainsi, après le « f » de fou, peut-être leur fallait-il forcément un autre « f » à savoir le « f » de feu pour créer la diversion du siècle après la publication « des comptes et mécomptes de l’ANOCI » ? « Yalla réka xaam » (Dieu seul sait) ? Que comprendre de la réaction étrange qui se lisait sur les visages aussi bien des « survivants » comme des saint-

Vivement pour un mémorial au « Joola »

Image
Depuis son tragique naufrage dans la nuit du 26 au 27 septembre 2002, « Le Joola » (ou « Diola » du nom de la principale ethnie de Casamance), symbole d’une Casamance fière et debout, n’a cessé de captiver et de passionner les imaginations. « Le Joola » qui assurait la liaison maritime entre Dakar et Ziguinchor via l'île de Carabane était un cordon ombilical entre la région Sud de Casamance et le reste du Sénégal. Il concourait au désenclavement de la région et était indispensable pour l’économie du pas de la « Téranga ». Ce ferry a sombré emportant avec lui 1.953 victimes dont seulement 64 rescapés (les 22 ont passé la nuit sur la coque du navire), alors qu'il était conçu pour en transporter que 550 passagers. Son naufrage constitue ainsi la plus grande tragédie de l'histoire du Sénégal et sa submersion a été un choc grandement ressenti dans le monde entier, et notamment à Dakar et en Casamance. L’engloutissement du « Joola » peut être classé à l’évid